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 La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]

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Lukas D.Lewis

Lukas D.Lewis

Messages : 42
Date d'inscription : 28/02/2012
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La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Empty
MessageSujet: La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]   La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Icon_minitimeMar 28 Fév - 14:35






LEWIS Lukas

☂ NOM&PRÉNOMS: Lukas Devan Lewis
☂ GROUPE: WTFucking fuck ?!
☂ ÂGE: 19 ans physiquement, 21 en vrai
☂ ORIENTATION: Hétéro fermement convaincu







DESCRIPTION

☂ PHYSIQUE:

Lukas se fiche pas mal de savoir à quoi il ressemble. Il croit bien qu’il est beau, ou en tout cas, on le lui a déjà dit. Bon d’accord, il y a déjà pensé en se regardant dans un miroir, et il est arrivé à la même conclusion. Mais il n’aime pas cette peau blanche si fragile, ni cette ossature si frêle qui lui donne des airs de femme. Il aurait préféré ressembler à Mc Tyson, ou à Sylvester Stallone. A un homme, quoi.
Mais non, il a fallu qu’il naisse avec un physique aussi délicat que l’albâtre, un regard vairon, des longs cils et une bouche délicieuse qui lui donnent un air à peine crédible quand il fait le gros dur. Alors il a appris à miser sur autre chose que des muscles bien roulés et un visage bien marqué : le pouvoir d’intimidation psychologique est son arme. Les regards menaçants, l’air faussement calme, et les rires un peu psychopathes, ça le connait. Et pile au moment où il vous fait un sourire mielleux, hop, crochet du droit bien placé. Comme ça, il a joué de l’effet de surprise, et il vous a bien démonté la gueule. Quant aux demoiselles, autre chose bonne à savoir, si vous voulez pas vous faire avoir : il n’hésitera pas à user de ses charmes contre vous, même s’il trouve plus rapide de passer par les poings. Mais bon, frapper une femme le répugne.

Sinon, Lukas soigne assez son apparence vestimentaire, parce qu’il considère que cela peut jouer dans l’intimidation. Du noir, avant tout. Tantôt il joue le mec pété de tunes avec des fringues bien classes, tantôt le gothique bien flippant tout clinquant de piercings, colliers et autres. Quelque soit le rôle qu’il ait décidé de jouer, il met toujours des gants. Personne ne sait pourquoi.


☂ MORALE: La morale ? Il ne connaît pas. Tu lui plais pas, il te crache dessus. Tu l’énerves, il te défonce.
Par contre, du caractère, il en a. Imbu de lui-même, il est persuadé qu’il est le mieux désigné pour être le chef, celui qui fait sa loi. Il sait se battre, mais ce qu’il préfère, c’est s’amuser avec vos petits nerfs : cela aurait été dommage de ne pas faire usage de ses capacités intellectuelles pour trouver le bon moyen de pousser à bout ses victimes. Parfois, la blessure du cœur est bien plus efficace… Ce qui est étrange chez lui, c’est qu’il est (presque) toujours poli. Sans doute une question d’éducation, mais il aime aussi prendre une voix doucereuse et des paroles mielleuses pour mieux jouer avec vous. C’est avec le sourire aux lèvres qu’il fait du mal.

Avec cette tête de casier judiciaire bien rempli, a-t-il encore des qualités, autres que son intelligence démoniaque et sa tenacité ? Bien sûr. Les gens qui le côtoient découvrent avec surprise qu’il a le sens de l’humour, ainsi qu’une certaine attention envers ses amis. Il peut se montrer joyeux, et plutôt enclin à rendre service (quand on lui demande comme il faut, bien sûr), sans compter qu’il sait s’amuser. Oh oui, ses potes rigolent bien avec lui... Par contre, ils marchent droit : pas question de le trahir, Lukas ne plaisante pas avec ceux qui se paient sa tête. Il a horreur des gens infidèles.

La « morale » de l’histoire est : mieux vaut être son ami qu’autre chose, parce que les « autres choses », il les écrase sans pitié.







HISTOIRE

☂ CITATION...

Frêle. Faible constitution. Malade.

Ce sont les mots que j’ai toujours entendus, depuis ma naissance. Tout l’argent de ma famille n’a pas suffi à me soigner. Et pourtant, c’est pas comme si on en manquait : les Lewis monopolisent depuis un siècle l’industrie de l’armement, alors vous pensez bien que les billets débordent de nos poches. Mais ça m’empêchait pas de me réveiller dans la nuit pour cracher du sang. Les médecins ont défilé chez moi, mais c’était toujours le même constat. Incurable.

Je sais pas ce qui ennuyait le plus mon père dans cette histoire. Que je sois condamné à une mort certaine avant mes trente ans, ou qu’il doive du coup chercher un autre héritier à son entreprise ? Il passait son temps à pester dans son bureau, à engueuler les médecins, mais il ne me regardait pas, jamais. Alors que je faisais tout pour essayer de croiser son regard. Mais je n’étais pas stupide, ni aveugle. Je le contrariais.

Ma mère n’était pas mieux. Elle m’étouffait. Combien de psys j’ai dû aller voir, tout ça parce qu’elle se persuadait que j’étais mal dans ma peau ? C’était vrai, mais pour elle, c’était juste une façon de se réconforter, de se dire qu’elle faisait de son mieux. Et si je n’allais pas mieux, et bien c’était de la faute du médecin. Pas de la sienne, elle qui était si gentille, si souriante avec moi. Ca devait être fatiguant, Maman, pas vrai ? De devoir te contrôler tout le temps avec moi, de me traiter comme si j’étais fait en sucre, de ne jamais élever la voix contre moi, même quand tu en mourrais d’envie… Je n’étais pas ton fils, j’étais une petite chose fragile que tu regrettais d’avoir un jour expulsé de tes entrailles. Tu ne savais pas comment t’y prendre. Tu veux savoir où est ton erreur ? Tu n’as jamais levé la main sur moi. Jamais, pas une seule fois. Alors que j’étais exécrable avec toi.


Bref, vous avez compris, c’était l’enfer à la maison. Et devinez quoi ? A l’école, c’était pire. Les enfants me prenaient pour un extraterrestre, parce que j’étais toujours escorté, et que je ne parlais jamais. Ils osaient pas me frapper ou m’embêter ouvertement (forcément, un gars baraqué en costard qui vous suit partout, ça dissuade), mais leurs regards étaient suffisants. Il n’est pas comme nous.

J’aurais pu continuer ma vie comme ça, à me cacher derrière les larges épaules de mes gardes du corps, à faire le gars intouchable devant mes camarades, et l’enfant froid et muet face à mes parents. Mais ce n’était pas ce que je voulais. J’avais beau me dire qu’il suffisait que je me construise une carapace pour moins souffrir, j’en arrivais toujours au même résultat. Ce n’était pas ce que je voulais.

Mais je n’avais pas la bonne réponse pour autant. Alors, j’ai cherché. En rentrant au collège, j’ai fait pression sur mes parents pour ne plus avoir ni garde du corps, ni chauffeur. J’avais le sentiment qu’il fallait que je me mette à nu, que je joue le rôle du type normal. Mais je ne savais pas comment m’y prendre, et ma maladresse a dû transparaître. Tout a empiré.
Les collégiens sont cruels. La moindre différence est vue comme une tâche, un ennemi, un danger. Ils essayent à tout prix d’entrer dans un moule, et celui qui reste à l’écart est méprisé, parce qu’il représente leur peur d’être différents. Il ne faut pas montrer une seconde de faiblesse. C’est comme une course effrénée où celui qui trébuchera se fera piétiner par les autres derrière lui. Moi, je me suis bien fait piétiner, écraser même. J’étais incapable de me défendre des coups que je recevais. Au début, j’encaissais, mais arriva un moment où j’ai commencé à comprendre que ce n’était pas de ma faute. Que c’étaient les autres, les lâches. Tous des insectes. Et la rage bouillait en moi, je brûlais de tous les écraser de mon doigt, un par un, méticuleusement, pour voir leur sang gicler.


Jusqu’au lycée, ma rancœur n’a fait que grossir. Et elle a pu exploser grâce à un homme. Mon premier véritable ami.


******


Je ne réagis plus. Je laisse ces gars m’exploser le visage, sans bouger un doigt. Vide de toute conscience. Ca fait mal, mais j’attends que ça passe. Viendra un moment où ils en auront assez. Je crois que c’est ce moment-là qui sera le plus dur. Ils ne savent pas ce que c’est. Être laissé comme un déchet contre un muret peint de sang, dans le silence des ordures, à se confondre en pensées obscures toute dirigées sur un même objet de haine, soi-même, parce qu’il n’y a rien de plus méprisable que d’être impuissant, non, ils ne savent rien de tout ça. Alors je profite encore du moment où ils me laissent détester autre chose que moi-même, les détester eux.

Leurs coups se freinent, et pourtant, je les entends toujours, mais mon corps n’est plus touché. Je lève le regard, autant que mes blessures me le permettent.

C’est une vision que je n’oublierai jamais. Le dos ensanglanté d’un inconnu. Est-ce lui qui saigne, ou ma vue qui est brouillée par le liquide qui glisse sur mon front ? Je l’ignore, je n’arrive pas à réfléchir. Je ne veux pas réfléchir. Je me laisse juste éblouir.
En quelques secondes, il me venge, grandiose. Mes agresseurs détalent sans demander leur reste. Je ne sais pas qui est cet homme, mais je n’hésite pas la moindre seconde à accepter sa main. Et ses paroles sont encore aujourd’hui toutes proches de moi, comme s’il me les murmurait toujours à l’oreille :

« Ne les laisse jamais te faire baisser la tête. S’ils te frôlent, mords-les. S’ils te touchent, brûle-les. S’ils te frappent, tue-les. »



******


Jayce Connor. Plus que mon sauveur, il était devenu mon modèle, mon idole, mon maître. J’avais trouvé un but à poursuivre, coûte que coûte : le suivre, le servir. Depuis que j’avais décidé de mourir pour lui, ma maladie était devenue moins lourde à porter. Pourtant, objectivement, c’était un homme mauvais. Mais à vrai dire, le combat du Bien contre le Mal, j’en avais rien à battre. J’ai jamais cherché à me ranger d’un côté ou de l’autre. Je me rangeais simplement derrière Jayce.

La fierté d’être un homme, la joie de sentir la vie couler dans ses veines et le pouvoir d’en stopper la circulation, qui n’était donné qu’à quelques élus, voilà ce qu’il m’a appris. On faisait parti de ces « quelques élus ». On était invincibles, on était des dieux.

C’est ce qu’il m’a toujours dit. Mais il avait menti.


******


Je cours à en perdre haleine. Je pense encore au coup de fil que m’a passé Jayce. C’est rare qu’il me demande de venir chez lui en plein milieu de la nuit, sans préciser la raison. Encore plus rare qu’il se montre aussi insistant. Je fronce les sourcils. Un sale pressentiment ne veut plus me lâcher, depuis que j’ai passé le pas de ma porte…

Les escaliers me paraissent interminables. Mais j’arrive enfin, et la porte est grande-ouverte. J’aperçois sa main dépasser du fauteuil où il s’est avachi, le dos tourné vers moi.

« Jayce ?
-C’est fini, Lukas. »

Il me dit ça comme ça, du but en blanc. Sans même me regarder. Je reste silencieux, mon poing se serre, tandis que la peur de comprendre me bloque le cerveau.

« Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Tu sais très bien. Arrêtons toutes ses conneries. Ca suffit… »

Je déteste déjà ce ton qu’il prend. Faible, si faible… Ce n’est pas lui. Ma voix devient amère :
« Qu’est-ce que tu racontes ? Tu délires juste. Le surmenage, je parie, t’en fais toujours trop…
-Je suis sérieux, Lukas. Je sais que c’est difficile pour toi, mais je veux plus continuer là-dedans. Crois-le ou pas, mais ça te ferait du bien à toi aussi, j’en suis sûr. Tu n’es pas fait pour ça. »

C’est le mot de trop. En une seconde, j’ai l’impression que tout s’effondre. Que mon admiration sans bornes pour ce gars s’inverse instantanément pour laisser place à une haine violente. Destructrice.

Jayce ne bouge même pas un cil quand je l’empoigne par le cou.

« Tu te fous de moi ?! C’était pas ce qu’on avait dit, au départ !
-Je ne t’ai rien dit du tout, répond t-il, calmement. C’est toi qui a décidé de me faire confiance. Et c’était une erreur. »

Totalement impassible. Son détachement finit par me faire réellement sortir de mes gonds.

« T’as pas le droit de me faire ça, putain ! Je… Je peux pas… Merde, pourquoi ? Pourquoi t’as commencé à réfléchir ? Ca te ressemble pas ! Pourquoi… Pourquoi tu te mets à penser que maintenant… ? »

Ça n’était plus arrivé depuis des années que mes larmes coulent. Et je ne les essuie même pas. Jayce le sait, il me connaît par cœur. Mais sa réaction n’est pas du tout celle que j’espérais. Il pose sa main sur ma tête et sourit, presque…attendri. Putain. Avant même qu’il parle, je hais déjà ce qu’il va dire.

« Tu comprendras plus tard, toi aussi. »


******

On a coupé les ponts, je ne l’ai plus revu pendant plusieurs mois. Ma plus grosse erreur, sans doute. Si je n’avais pas laissé la colère m’aveugler, si j’avais cherché à le comprendre, si j’avais continué à le suivre, j’aurais peut-être pu éviter cette catastrophe… Mais quelque chose me disait que de toute façon, il avait tout prévu pour qu’il en soit ainsi, pour que je ne sois plus à ses côtés. Pour me protéger, comme il l’a toujours fait. Et je n’ai rien vu… Rien.
Mais c’était déjà trop tard. Il est mort. Il a osé mourir avant moi. Il n’arrivait plus à gérer les conflits avec les autres gangs, il a dû sentir que sa fin était proche… Mais à qui pouvais-je donner ma vie s’il la perdait avant moi ? C’était absurde, insensé. Il avait de sa main détruit mon rêve, pour me sauver. J’étais déchiré. Je ne savais pas si je devais lui en vouloir, pleurer sa mort, ou lui être reconnaissant de tout ce qu’il avait fait pour moi. J’ai fait les trois, je crois.


J’ai arrêté de me battre après ça. Personne n’a plus entendu parler de Lukas Lewis. Pas même mes parents, j’ai quitté le domicile familial sans le moindre regard en arrière. Je ne sais pas comment ils l’ont vécu. Ma mère a sûrement pleuré longtemps.

J’avais besoin d’être seul pour réfléchir à ce que m’avait dit Jayce avant de mourir. Certes, son but premier était de me tenir à l’écart de ses problèmes, mais j’étais persuadé qu’il avait cherché à me faire passer un message… Quelque chose de différent de tout ce qu’il avait pu m’apprendre…
Et j’ai compris. Ou plutôt, lui avait tout compris. Dans ses derniers mots, il m’a dit à plusieurs reprises que je faisais fausse route avec lui. Il savait donc depuis le début ce que je voulais, et que j’ai mis tant de temps à trouver, depuis mes années collège.

Toucher les cœurs et montrer le mien. C’est tout ce que je désirais. La violence, ce n’était qu’un leurre, un chemin que j’avais choisi parce que c’était plus simple de détester que d’accepter. Personne ne m’avait jamais accepté, donc je ne savais pas comment faire. Mais… Pourquoi Jayce m’avait tout de même accompagné au fond du gouffre, alors qu’il savait pertinemment que je me trompais ? Sans doute pour mieux me montrer à quel point je m’égarais. Je ne sais pas vraiment. Je me rends compte maintenant que je ne le connaissais pas du tout.


Je vous raconte tout ça maintenant, alors que je suis sur le quai du RER, à deux centimètres du gouffre où s’enchevêtrent les rails. Merci de m’avoir écouté, ça m’a fait du bien.

******

Lukas a atterri à l’Ailleurs, juste après avoir tenté de se suicider. Mais il ne s’en souvient pas. Il vit dans l’Ailleurs comme à l’époque où Jayce était encore en vie et de son côté, même s’il ne se rappelle plus de lui. Il a en fait subi un choc en arrivant dans ce monde qui lui a fait oublier précisément ce qu’il voulait oublier. Alors ne vous avisez pas de lui faire rappeler cette dernière partie de son histoire, il risquerait de vous mordre à mort.







PSEUDO, PRENOM

☂ PRENOM: Joker ?
☂ PSEUDO: Bah... Lukas xD
☂ ÂGE: Niuhuhu
☂ CODE: Validé par Biza
☂ UN MOT : Bravo et merci à ceux qui ont lu ma fiche jusqu'au bout parce que.... y a du boulot -_-
☂ AVEZ VOUS UN PARRAIN : Nop








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Bizareth Da Cavaletti
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Bizareth Da Cavaletti

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MessageSujet: Re: La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]   La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Icon_minitimeMar 28 Fév - 17:47


    Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue sur le forum. Pour ce qui est de lire (et rédiger) de longs textes, pas de souci pour moi, au contraire, j'adore. Bref, je crois qu'en réalité je n'ai presque rien à redire à ta fiche ce qui est plutôt rare. J'aime beaucoup ton style d'écriture même si ta description physique manque de quelques éléments, par exemple ses cheveux qui sont bleus et qui devraient tout de même attirer un minimum l'attention mais ce n'est qu'un avis personnel. En ce qui concerne ton histoire, j'ai beaucoup aimé la manière dont tu écrivais et les éléments qui se déroulaient; j'aurais presque demandé plus, surtout en ce qui concerne Jayce car c'était vraiment intéressant et bien mené, quoique triste. Sur ce, j'ai déjà validé ton code et je valide également donc ta fiche en t'ajoutant dans ton groupe. Ton avatar a déjà été recensé mais tu es libre de voguer où tu le souhaites. Pour ce qui est des chambres, puisque nous les remodelons, merci de patienter pendant quelques temps. Au plaisir de te croiser au détour d'un Rp.
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Emilian L. Autiero
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MessageSujet: Re: La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]   La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Icon_minitimeMer 29 Fév - 9:59

Bienvenue ! J'arrive un peu tard, désolée mais je me suis couchée à 4h30 alors j'avais pas trop le courage de passer (et non je raconte pas ma vie !) '___' En tout cas félicitations pour ta validation Lukas. :3
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Lukas D.Lewis

Lukas D.Lewis

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MessageSujet: Re: La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]   La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Icon_minitimeMer 29 Fév - 21:22

Merci à tous les deux ! Merci de m'avoir validé. Et merci de ta critique, Bizareth. (ça fait déjà trois merci, dis donc...) Tu n'as pas tort pour la description physique, mais je voulais pas en faire des tonnes sur ce sujet parce que Lukas se moque assez de son physique, donc j'ai juste mentionné quelques éléments par-ci par-là. Bref, je ne refuserai pas non plus un RP avec toi ^^

Je pense que je vais me familiariser petit à petit avec le forum, avant de poster dans la partie RP.
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MessageSujet: Re: La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini]   La violence est là où la douceur est vaine - Lukas [Fini] Icon_minitime

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